Santé

Trois pères, trois enterrements : Les victimes de l’attentat d’Ariel inhumées

Doit-on cependant rappeler qu’elle touche, chaque année, plus de 850 millions de personnes dans le monde ?

Deuxième bloc opératoire dans un hôpital de Toulouse

Les trois victimes de l’attentat d’Ariel inhumées ont été inhumées hier. L’une des victimes, Amine El Arian, est la fille du propriétaire du restaurant Le Bugnon, assassiné à Paris le 13 novembre 2015. Son père et sa mère étaient aussi les victimes de l’attentat. La seconde victime est la femme de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, le terroriste qui a fait 51 morts et 413 blessés à Nice le 14 juillet 2016. Son mari Mohamed Lahouaiej Bouhlel était également tué à Nice par les forces de l’ordre. La troisième victime est Youssef Zaghba, un Italien de 22 ans soupçonné d’avoir voulu commettre une attaque terroriste pour tuer des touristes en France. Il a été arrêté en Italie après son arrivée en France le 22 janvier.

Cinq jours après l’attentat, les victimes enterrées

Les victimes de l’attentat d’Ariel inhumées

Trois pères, trois enterrements : Les victimes de l’attentat d’Ariel inhumées

Trois pères, trois enterrements marqués par le chagrin. Quelques heures après la tragédie qui a frappé la ville d’Ariel, les parents de victimes ont conduit les corps de leurs enfants à l’église Sainte-Geneviève pour y être inhumés. Ces trois funérailles ont été tristement célébrées à la même occasion, en présence du maire et du président de la République.

Lors de ces obsèques, les proches ont pu évoquer les souvenirs douloureux des disparus. « Aujourd’hui est un jour où nous payons le prix fort pour notre liberté », a déclaré le père Marc Antoine, grand-père maternel d’Ariel. Avec ce drame qui touche particulièrement les familles juives, cette nouvelle disparition souligne à

Une brève réflexion sur la mort d’Ariel et ses conséquences

Les victimes de l’attentat d’Ariel inhumées

Les trois pères qui ont perdu leur fils dans l’attentat d’Ariel ont pu rendre hommage à leur fils en l’inhumant ensemble. Ces trois familles, qui se connaissaient bien, ont décidé de se retrouver pour cette cérémonie collective. « C’était un geste pour montrer notre solidarité et notre douleur, a expliqué à France Info le père du jeune homme tué, Abdelkader Bouziane. On ne peut pas se contenter de vivre avec ce moment-là. Il faut continuer à vivre ensemble et à penser à notre fils ».

Ces pères ont également décidé de sceller une alliance symbolique en créant un Collectif national des victimes d’Ariel.

Les conditions optimales pour survivre à une attaque terroriste

Les trois pères de victimes de l’attentat d’Ariel inhumés vendredi ont tenu à rendre hommage aux leurs. Ils étaient venus à Paris pour leur enterrement et ont salué une France « indépendante » et « libre », soulignant qu’elle était aussi la France des « valeurs familiales ». Les victimes de l’attentat de Nice ont été inhumées hier à Marseille. Elles avaient toutes 52 ans.

Le poids des actes terroristes

Les trois pères qui ont perdu leurs enfants et qui se sont produits à l’enterrement d’Ariel ont tous été choqués par les images de sa dépouille inhumée sans vie. Ils racontent leur histoire.

Les trois pères qui ont perdu leurs enfants dans l’attentat d’Ariel inhumés hier dimanche à Paris ont chacun décidé de faire une promenade ensemble après l’enterrement. Les photos choisies par les photographes pour immortaliser cette émotion forte montrent des pères accompagnant leur fils ou la fille qu’ils avaient perdu, morts ou vivants. Aucun d’eux n’aurait pu se douter que ces photographies allaient être publiées et partager autant de messages de soutien aux familles affectées par ce drame.
###

Laisser un commentaire