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« Avec lui, c’est marche ou crève », Heurtel et son choix de la Russie mettent le basket français très mal à l’aise

La France est une grande nation, mais elle a encore découvert à quel point le basket est un sport national.

Qu’est-ce que le basket français

Heurtel est la nouvelle recrue de l’équipe de France de basket. A l’image de son nom, l’athlète originaire de Russie est un grand dur à cuire. C’est pour cette raison qu’il a choisi la Russie comme pays d’origine pour effectuer sa formation. Pour beaucoup de Français, cette décision est une source d’inquiétude.

Heurtel a déjà fait parler de lui en participant à plusieurs Mondiaux junior. Son implication marquante aux côtés des Bleus a fait réagir les supporteurs nationaux. Pour beaucoup, Heurtel représente l’ennemi juré du basket français.

Cette position ne semble pas avoir effrayé l’athlète russe qui continue à défendre ses choix. « Mes motivations sportives sont le basket et rien d’autre », explique-t-il sans complexe.

Le choix du jeune homme mettrait donc en danger la carrière du jeu français chez les professionnels. Ceux-ci craignent notamment la concurrence dél

L’histoire du basket français

Il y a quelques semaines, la France se retrouvait face à l’un des choix les plus difficiles de son histoire : choisir entre la Russie et les États-Unis pour participer aux Jeux olympiques de Sotchi. Heurtel, qui est originaire de Russie, a été le premier à faire le saut en Europe et il a décidé de prendre part aux JO de son pays.

Cette décision met le basket français très mal à l’aise. Pour beaucoup, cette option est surtout symbolique, car on considère que la Russie n’est pas une bonne école pour promouvoir le basket. D’autres encore pensent que Heurtel va voir trop peu les matches en compagnie des siens.

Malgré tout cela, Heurtel estime que cette expérience sera enrichissante et qu’il aura appris beaucoup sur lui-même. « L’important, c’est de passer à autre chose après », explique-t-il.

Des dérives du sport en Russie

« Avec Heurtel, c’est marche ou crève pour la France de basket. »

Le Français, qui a rallié la Russie en tant que joueur et entraîneur, n’a pas tiré les leçons de ses échecs internationaux. Et ce, malgré les critiques formulées à son encontre. Ainsi, lors des qualifications pour les championnats du monde 2019, il a choisi de se diriger vers la Russie en invitant ses homologues français à venir le rejoindre. Ces derniers ont bien voulu mettre un terme à cette folle aventure en moins de 48 heures.

Heurtel estime que sa patrie russe est une bonne destination pour développer son basket. Selon lui, la Russie possède tous les ingrédients nécessaires à une bonne progression : beaucoup d’argent, une population dense et dynamique, et des terrains très performants. Pour les Français qui ont peur de voir leur sport humilié sur un podium russe, cette décision est un vrai coup dur. Dans son interview accordée au site espnfc.com,

Les avantages d’un séjour au pays de l’Est

« Basket sport : Avec lui, c’est marche ou crève »

Heurtel et son choix de la Russie mettent le basket français très mal à l’aise

Les rumeurs courent depuis quelques semaines au sein du basket français. La raison ? Jean-Michel Heurtel, ancien joueur de l’équipe de France et entraîneur désormais à Moscou, a décidé de rejoindre les forces armées russes. Un choix qui ne plaît pas à tout le monde en France. Car si ce choix est venu confirmer ceux portant sur la faiblesse du pays sportif en Ligue Européenne, il met également le basket français dans une position difficile. Car après avoir été éliminés à la Coupe du Monde 2014 par le Brésil, les Bleus sontiment avoir besoin de récompenses pour retrouver une place d’honneur dans le sport internationnel. Or Heurtel jugera les élèves russes à qui il voudra donner sa confiance…

Le futur du basket en Russie

Si la France est loin d’être unanimement persuadée de l’intérêt du basket russe pour elle, l’équipe de France menée par Pascal Heurtel n’a pas choisi la meilleure option en optant pour une rencontre face à la Russie, qui promet de se montrer particulièrement difficile. Après avoir échoué à se qualifier pour les éliminatoires olympiques face aux Pays-Bas et en Argentine, les Bleus ont décidé de se frotter au pays des tsariques. Et ce, malgré les récents problèmes judiciaires de leur entraîneur, qui risque gros à Moscou.

« Avec lui [Pascal Heurtel], c’est marche ou crève »

Les Bleus tentent ainsi d’afficher leur indépendance vis-à-vis des instances internationales et de reprendre les rênes du football français. Mais cette décision risque fort de mettre très mal à l’aise les supporters nationaux. Pour beaucoup, cette rencontre constitue un vrai test sur la motivation des j

Le rôle de la Fédération Française de Basket

On a beaucoup parlé d’Heurtel ces derniers jours. L’attaquant de 23 ans, qui a choisi de signer avec la Russie, est passé sous les projecteurs après sa performance à l’EuroBasket 2017, où il avait inscrit 16 points en 10 matchs. Pourquoi a-t-il choisi la Russie ? « Avec lui, c’est marche ou crève », répond Heurtel. Cette phrase révèle tout son point de vue sur le basket français : si on ne fait pas attention, on finit par disparaître. « Je pense que notre basket est faible et qu’il ne nous reste plus beaucoup de chances de monter en grade. C’est pour ça que je voulais aller voir quel pays était le meilleur pour moi. La Russie est une nation forte en basket et je pense que je peux y faire mes preuves ».

Cette décision ne plaît pas aux fans de basket français qui ont critiqué Heurtel sur les réseaux sociaux. Certains ont même appelé à boycotter

Les réactions du monde du

Avec Heurtel, c’est marche ou crève. Après avoir choisi la Russie comme pays d’amitié, le basketman français est confronté à de nombreux problèmes.

Après avoir obtenu de bons résultats à l’étranger, Heurtel est revenu en France et a mis les Alexandrins très mal à l’aise. La raison : il choisit de jouer pour la Russie, pays où il n’y a pas d’équipe officielle. Les Français trouvent que cela revient à se rouler dans la farine et déplorent le manque de scrupules des joueurs français qui ne manifestent pas suffisamment leur aversion au genre de jeu qu’il représente.

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