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Françoise Bertieaux remplace Valérie Glatigny : “Une certaine gauche va me qualifier d’élitiste, je ne me tracasse pas”

Françoise Bertieaux remplace Valérie Glatigny : « Une certaine gauche va me qualifier d’élitiste, je ne me tracasse pas »

Lors d’un remaniement au sein du gouvernement bruxellois, Françoise Bertieaux a été nommée ministre de l’Enseignement et de la Formation en remplacement de Valérie Glatigny. Cette passation de pouvoir a suscité quelques réactions, notamment de la part de la gauche qui accuse la nouvelle ministre d’être élitiste. Toutefois, Françoise Bertieaux ne se laisse pas perturber par ces critiques et entend mener sa mission avec détermination.

Une nomination contestée

La nomination de Françoise Bertieaux à la tête du ministère de l’Enseignement et de la Formation a fait réagir une partie de la gauche politique. Certains militants estiment que cette décision va à l’encontre des valeurs d’égalité et d’inclusion prônées par leur parti. Ils accusent la nouvelle ministre d’être élitiste et peu encline à défendre les intérêts des classes populaires.

Pourtant, Françoise Bertieaux a une expérience solide dans le domaine de l’enseignement. Elle a été directrice d’école et a occupé différents postes au sein de l’administration scolaire. De plus, elle a toujours défendu une vision équilibrée de l’éducation, mettant l’accent à la fois sur l’excellence académique et sur l’inclusion des élèves issus de milieux défavorisés.

Face à ces critiques, Françoise Bertieaux reste sereine et assure qu’elle est prête à assumer ses fonctions avec engagement et détermination. Elle est consciente des défis qui l’attendent et compte bien mettre en place des mesures concrètes pour améliorer le système éducatif bruxellois.

Un projet ambitieux pour l’enseignement bruxellois

Françoise Bertieaux a dévoilé quelques-unes des grandes lignes de son projet pour l’enseignement bruxellois. Elle souhaite tout d’abord renforcer la qualité de l’enseignement en mettant en place des formations continues pour les enseignants et en favorisant les échanges entre établissements scolaires.

Elle prévoit également de développer des actions spécifiques pour lutter contre le décrochage scolaire et favoriser la réussite de tous les élèves, quel que soit leur milieu social. Pour cela, elle entend mettre en place des programmes d’accompagnement individualisé et renforcer les dispositifs de remédiation.

Enfin, Françoise Bertieaux souhaite améliorer l’inclusion des élèves en situation de handicap dans les écoles bruxelloises. Elle compte mettre en place des mesures spécifiques pour favoriser leur intégration et veiller à ce qu’ils bénéficient de tous les moyens nécessaires à leur épanouissement scolaire.

Une ministre déterminée

Face aux critiques de la gauche, Françoise Bertieaux reste déterminée et ne compte pas se laisser déstabiliser. Elle est consciente des enjeux de son poste et est convaincue qu’elle pourra mener à bien sa mission.

Elle entend prendre en compte les attentes des différentes parties prenantes de l’éducation bruxelloise, mais reste ferme dans ses convictions. Pour elle, l’excellence académique et l’inclusion ne sont pas incompatibles, bien au contraire.

La nomination de Françoise Bertieaux à la tête du ministère de l’Enseignement et de la Formation a suscité des réactions mitigées, notamment de la part de la gauche. Certains militants l’accusent d’être élitiste et peu concernée par les problématiques des classes populaires.

Toutefois, Françoise Bertieaux affirme qu’elle est prête à assumer ses fonctions avec détermination. Elle souhaite renforcer la qualité de l’enseignement bruxellois, lutter contre le décrochage scolaire et favoriser l’inclusion des élèves en situation de handicap.

Malgré les critiques, Françoise Bertieaux reste convaincue que l’excellence et l’inclusion peuvent aller de pair. Elle compte mettre en place des mesures concrètes pour améliorer le système éducatif bruxellois et veiller à ce que chaque élève puisse réussir, quel que soit son milieu social.

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