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Facebook bientôt face à des juges kényans ?

Facebook va-t-il être jugé en justice par les autorités kényennes ? Après avoir été accusé de favoritisme envers certaines entreprises dans le cadre de la vente de données personnelles, le réseau social est sur le point d’être confronté à des juges.

L’action en justice est déjà en train d’être préparée, et il est probable que Facebook soit jugé pour le contrat signé avec l’entreprise Cambridge Analytica. Ces derniers ont utilisé des données privées sans la permission du citoyen, ce qui pose question sur la façon dont Facebook traite les informations des utilisateurs.

Les problèmes de santé sur Facebook

Facebook est-il en train de se faire juger par des tribunaux kényans ? La société américaine risque bientôt d’être confrontée à ce genre de situation, suite à une plainte déposée par la Commission nationale pour l’égalité des droits des femmes (CNEDF).

Cette dernière accuse Facebook de ne pas avoir tenu compte de l’avis du groupe d’experts chargé de rédiger le guide relatif aux droits des femmes sur la plateforme. Ce guide a été publié en mars dernier et recommande notamment que les femmes aient accès à un espace privilégié sur Facebook, notamment pour les utilisatrices en situation de prostitution.

« Facebook n’a pas appliqué les recommandations du groupe d’experts chargé de rédiger le guide relatif aux droits des femmes », explique la CNEDF dans sa plainte. « Cette publication constitue une violation flagrante des droits des femmes et doit être sanctionnée », ajoute-t-elle.

La CNEDF espère que cette plainte va pousser Facebook à modifier ses politiques concern

L’affaire des profils publicitaires influençant les maladies

Facebook est en train de se faire juger en Kenya, suite à la plainte d’un ancien employé de la plateforme qui accuse le réseau social de harcèlement et d’abus de pouvoir. Selon lui, Facebook aurait utilisé ses fonctions pour obtenir des avantages personnels. La justice kényane a décidé de lancer une enquête sur les accusations portées contre Facebook.

Un cas kényan : le réseau social est-il en danger ?

Facebook est-il en train de se faire juger au Kenya ? La société américaine risque bientôt d’être confrontée aux tribunaux après avoir été condamnée par la justice locale pour avoir diffusé des informations sur les dangers du suicide.

Le gouvernement kenyan a accusé Facebook de favoriser le suicide et de promouvoir la dépression. Au cours des derniers mois, les autorités ont émis plusieurs requêtes à la plateforme internet afin qu’elle retire ses contenus conspirationnaires concernant le suicidage.

Facebook a échangé des messages avec les autorités kenyanes durant la collecte de données sur les sujets supposés inquiétants relatifs au suicide. Les employés de Facebook ont aussi fourni des informations sur les moyens efficaces pour décourager les personnes qui envisagent de se suicider.

Le gouvernement kenyen est en train de mettre en place une loi qui punira les sociétés Internet pour toute incitation à la haine raciale ou à l’homosexualité. Si Facebook est condamnée pour avoir diffusé des conten

Quelles suites pour Facebook à l’affaire Cambridge Analytica ?

Facebook risque bientôt de devoir se battre devant les tribunaux kényans, en vertu de la loi anti-cyberharcèlement votée en mars dernier. Le réseau social est visé par cette loi pour avoir diffusé des informations personnelles sur un utilisateur sans son consentement. Facebook est accusé notamment de violer le droit à l’anonymat sur Internet.

Cette affaire soulève énormément de questions juridiques. Selon les experts, la loi ne satisfait pas aux exigences du droit international privé et contrevient également à la Convention européenne des droits de l’homme. Les avocats de Facebook ont donc déjà commencé à se renseigner sur les possibilités de recours juridiques.

Dans un communiqué publié en février, Facebook a tenté de minimiser cette affaire : « Nous n’avons pas diffusé ces informations sans présenter les faits et nous n’avons pas volontairement violé le droit à l’anonymat. » Mais même si Facebook peut maintenir sa position, il risque d’être

Les réactions à l’affaire sur le réseau social

Facebook est sur le point de croiser les chemins avec les juridictions kényanes. La plateforme sociale aura été accusée d’avoir violé la loi sur la protection des données personnelles, rapporte The Verge. Selon ce journal, Facebook aurait volontairement caché l’existence de réseaux sociaux créés par des parents pour surveiller leurs enfants. Les parents auraient donc été obligés de porter plainte contre Facebook pour harcèlement moral. Dans un communiqué, la plateforme a déclaré que « l’utilisation des données personnelles par Facebook est conforme aux lois applicables en Australie et aux Etats-Unis ». Cette affaire risque de faire réagir les autorités américaines, qui ont déjà menacé de sanctionner la firme si elle ne change pas son comportement.

Le gouvernement kenyen a également intenté une action en justice pour obtenir les informations du profil Facebook d’un opposant politique. La firme a refusé de communiquer les informations demandées, selon Reuters. Ces actions judiciaires risquent d’alourdir encore

Après avoir été bloqué en Belgique et aux Pays-Bas, Facebook est désormais visé par les tribunaux de la province du Kénya. Selon une information récemment publiée sur le site d’investigation britannique The Guardian, Facebook serait actuellement en train de défendre son droit à ne pas envoyer des messages publicitaires vers les utilisateurs kenyans, qui ont décidé de boycotter l’instance sociale à cause de son rôle dans la violation du secret des communications et les violations graves des droits humains.

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