Le groupe Walt Disney a annoncé jeudi le déclin de son service Disney+ pour la première fois, ce qui représente un échec commercial pour l’engagement en ligne que le groupe avait mis en place. Au total, 7.000 personnes ont été licenciées depuis son lancement en mai.
Le groupe avait placé sur ce service une grande importance et espérait attirer les familles qui n’avaient pas accès aux soins du côté du réseau Nickelodeon ou à d’autres services concurrents. Mais malgré les investissements massifs, le marché ne semble pas vouloir suivre Disney+.
La branche divertissement de Disney+ perd des abonnés
Disney+ perd des abonnés pour la première fois, le groupe licencie 7.000 personnes
Les 7.000 licenciements sont liés à la récente augmentation de la facturation
Disney+ est en train de perdre des abonnés. Le groupe licencie 7.000 personnes, dont 4.000 employés. La plupart des fonctionnaires licenciés ont été affectés au sein du département RH (ressources humaines).
Disney+, qui est propriété de Disney, a toujours multiplié les efforts pour se démarquer
Disney+, qui a récemment lancé son service en France, perd des abonnés. Le groupe licencie 7.000 personnes. Selon le Wall Street Journal, cette baisse du nombre d’abonnés aurait été due à la concurrence de services comme Netflix et Hulu.
Les consommateurs choisissent désormais d’autres services en ligne
Disney perd des abonnés pour la première fois, le groupe licencie 7.000 personnes
Le groupe Disney+ perd des abonnés pour la première fois, et cette décision a été fatale pour 7.000 employés du groupe licenciés. Ces personnes ont toutes travaillé sur les divertissements en ligne qui ont été rachetés par Disney il y a quelques années. Ce n’est pas la première fois que le groupe échoue, puisqu’il a déjà licencié plus de 50.000 employés suite à ses problèmes financiers récents dans le secteur du divertissement. Les gens qui continuent à suivre Disney+ risquent donc de voir une baisse significative de leur revenu si ce régime commercial ne se transforme pas rapidement en un succès commercial concret.

