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Mort d’Elizabeth II : que pèsent les anti-monarchie au Royaume-Uni ?

Extrait du dossier France.

Comment la mort de Elizabeth II a affecté les monarchistes britanniques

Après la mort de l’impératrice Elisabeth II, les anti-monarchie en Grande-Bretagne font le point. Selon eux, elle a été assassinée et son fils aîné, Charles, est un monarque inatteignable. Les partisans du changement politique jugent que le Royaume-Uni est en crise et appellent à une révolution. Les opposants au régime royal se demandent si cette mort va provoquer un revirement de la société britannique.

L’impact d’un tel événement sur la survie des monarques

L’annulation de la cérémonie de remise des insignes du Royaume-Uni à la reine Elizabeth II a fait le tour du monde. Selon le Daily Mail, les opposants à l’monarchie pèsent lourd dans le pays. La campagne « Let’s get rid of the monarchy » a recueilli plus de trois millions de signatures et un sondage réalisé en avril 2017 montre que 53% des personnes interrogées souhaitent voir disparaître la monarchie britannique.

Comment les peuples de l’ancien Empire se sont comportés à l’annonce de cette succession

Après la mort d’Elizabeth II, les anti-monarchie font resurgir leurs revendications politiques. Si vous êtes interrogé sur cette question, voici quelques éléments à considérer pour mieux répondre. La monarchie britannique traditionnelle est basée sur le principe de l’hérédité, ce qui signifie que chaque membre du royaume a un droit inaliénable à la couronne. Les institutions royales sont démocratiques et représentatives des différentes communautés en général, mais elles ne sont pas fondées sur les principes de la démocratie directe. Les partis politiques ont une forte influence sur le gouvernement et ont tendance à influencer les décisions prises par le monarque.

Les anti-monarchie ont énormément souffert au cours des derniers jours suite à la mort de l’impératrice Elizabeth II. Certains diront que cette décision a été prise par les Britanniques sans avoir réfléchi aux conséquences potentielles, tandis que d’autres pourront affirmer qu’elle aurait pu se produire n’importe où ailleurs dans le monde et qu’il s’agit donc du résultat logique du vote sur le Brexit. La question qui reste encore sans réponse est la suivante : comment vont les Britanniques gérés par une monarchie traditionnelle après ce choix profond?

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