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La colère d’Elio Di Rupo: « La FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent »

Décryptage d’un article de la presse à propos d’Elio Di Rupo, l’ancien Premier ministre belge qui a démissionné il y a deux semaines pour protester contre le rachat de la FIFA par les Américains.

La colère d’Elio Di Rupo: « La FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent »

L’arbitre Elio Di Rupo est en colère. Ce samedi soir, il a été débouté de son dernier match arbitral sur le terrain international. Il estime qu’il y a eu un manque de respect à son égard. « Je ne me cache pas que je suis en colère. La FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent », explique-t-il au micro de RTBF.

Il reproche notamment à la Fédération internationale de football (FIFA) d’avoir choisi de renforcer les contrôles financiers et de marketing plutôt que de recruter d’autres arbitres. « Le sport doit rester un divertissement, pas une affaire d’argent ».

Le dirigeant belge regrette également le manque de transparence du système arbitral. « Nous avons besoin de savoir qui gagne et qui perd », martèle-t-il.

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Le président du conseil d’administration de la FIFA, Elio Di Rupo, a réagi aux sanctions infligées à la Belgique suite à l’affaire de match truqué de la Coupe du Monde 2010. Selon lui, cette affaire montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent.

« La FIFA montre qu’elle est avant tout une organisation qui se soucie avant tout des intérêts financiers de ses instances et des sponsors, quitte à sacrifier les codes du fair-play sportif », déplore Elio Di Rupo dans un communiqué. « La faiblesse du système judiciaire belge et le manque de transparence dans ce dossier font peur. La Fifa doit être plus vigilante sur les règlements applicables aux compétitions internationales. »

Le président de la Fédération belge de football (FBF), Michel Platini, a également critiqué les sanctions infligées à son pays. « Cette affaire souligne que les directives de la FIFA ne sont pas toujours respectées », déclare-t-il. Michel Platini appelle la FIFA

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Le président de la Fédération internationale de football (FIFA), Gianni Infantino, a été critiqué par Elio Di Rupo, ancien Premier ministre belge, qui estime que la Fifa montre qu’elle se fout pas mal du sport.

Dans un entretien accordé à l’agence Belga, le président de la FIFA a dénoncé les récentes révélations sur l’utilisation d’argent public pour financer les équipes nationales. «Je crois que cela montre une fois de plus que la seule chose qui compte, c’est l’argent», a-t-il déclaré.

Selon Gianni Infantino, les dirigeants des différents pays doivent trouver des solutions alternatives aux aides financières provenant du public. Ce dernier souhaite notamment que la Fifa instaure une taxe aux Etats membres qui financent les équipes nationales.

Elio Di Rupo accuse Gianni Infantino de vouloir faire passer le sport avant les intérêts du pays et estime qu’un tel comportement ne peut pas continuer.

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Le gouvernement wallon réagit vivement à la décision de la FIFA de ne pas prolonger le contrat du coach Elio Di Rupo. Cette dernière a fait valoir que le principal objectif de la Fifa est l’argent et non la victoire des nations. Le Premier ministre wallon, Elio Di Rupo, a déclaré sur RTBF: « Cette décision montre clairement que la seule chose qui compte, c’est l’argent et non les équipes nationales. La FIFA est en train de nuire gravement aux performances sportives des pays membres. »

La colère d’Elio Di Rupo, le président du Conseil national du sport (CNS), à propos de la FIFA et de la décision de l’organisation d’aligner les matchs en Belgique contre la France: « Ils montrent clairement qu’à la FIFA, seule l’argent compte ».

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